Fréquentée régulièrement à Paris avec les exposions en groupe au Grand Palais consécutivement depuis une quinzaine d’années, l’artiste coréenne LEE HYE-SOON ne cesse pas sa passion et son obssession caractéristique sur la nature elle-même. Un réel voyageur perpétuel ayant une vision d’une beauté coloriée de fleurs typiquement coréennes mais une vie cosmopolite de goût universel et de curiosité enfentine, cette artiste a l’envie de garder et montrer la nature plutôt spirituelle du jardin privé de sa maison-atelier suffisamment isolé de mégalopole Séoul où elle interpréte une œuvre de façon différente, de nouveau.
Récemment, elle a été imbibé de la texture et de la beauté matérielle des métaux qu’elle était obligée de maîtriser les techniques de soudage pour le travail des métaux : or, argent, cuivre.... des coloris floraux illustrés par l’art des métiers en métal qui sont difficiles à trouver ce genre de la peinture contemporaine coréenne, les accessoires décoratifs, colliers, bracelets, badges en métal craft serions également exposés dans l’exposition à Paris.
Suite à une exposition invitée de Koreanisher Farbe (Korea Kulturhaus Osterreich. Vienna, Autriche 2017), nous avons une chance de découvrir sa vision propre matérialiste et de la rencontrer plus intimement à une galerie Mona Risa en février 2020 pendant 2 semaines à deux pas de l’ambassade de Corée à Paris 7e. Par la suite son calendrier est déjà plein à Palais des Arts (avril) et FIAF (septembre) à KOEX de Séoul en 2020.
Exposition Lee Hye-Soon
Période : 18-29 Février 2020
Vernissage à 18:00 le 18 février 2020
Galerie Mona Risa, 32 Rue de Varenne 75007 Paris
http://hsoon.creatorlink.net/NEWS-REPORT
Lee Hye-SoonApres avoir suivi les cours d’arts plastiques
dans la celebre univer-site Ewha (Seoul, Coree du Sud),
Lee Hye-Soon a rapidement trouve son chemin pictural.
En effet, sa recherche l’a incitée à dépasser une approche de la
nature trop matérialiste pour aller vers une dimension sublimée. Ses tableaux nous donnent à voir des paysages revisites, réinterprétés par son talent et ainsi, au-delà des fleurs ou autres éléments qu’elle met en scène,
c’est tout un univers quasi cosmique qui s’offre à nous.
Les compositions de Lee Hye-Soon me font penser à des jardins magiques, emplis de sortilèges, ou les aventures qu’il nous montrent sont plus spirituelles que physiques. J’aime particulièrement les oeuvres realisées sur der supports circulaires qui peuvent évoquer des cartes du Ciel et de la Terre, nous proposant des cheminements de réflexion et déméditation. Ce qui est certain, c’est que ce travail qui semble être un moyen pour l’artiste de se situer dans l’universellement grand, résulte d’une communion efficace avec la nature qu’elle parvient à traduire, enobservant avec attention ce qui l’entoure lors de ses promenades inspiratrices. Pour Lee Hye-Soon, l’être humain n’est pas dissociable de ce qui l’entoure: il fait partie d’un tout et ne peut exister sans tout ce qui fait le monde. Les oeuvres de cette artiste coréenne sont assimilables à des paroles, à des actes transcrits sur la toile avec émotion et sensibilité qui veulent nous faire comprendre le mystère de la vie et la richesse spirituelle qu’il contient. Aprés avoir participé au Salon d’Autômne,
Lee Hey-Soon est exposée au Carrouseldu Louvre, a l’occasion du Salon du la Societe Nationale des Beaux-Arts où sa participation est très certainement remarquée.
Patrice de la Perrière
(Univers des art de art critic) France.
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