Ville de lumière aux réfugiés, Milan
L'objectif de 'Global City DMZ' est de changer complètement notre regard sur notre planète
Les réfugiés enfermés dans les camps y restent en moyenne 17 ans, y survivant sans aucune perspective d'avenir.
Au Kenya,
le gigantesque camp de réfugiés de Dadaab
La gestion de ces camps coûte chaque année des milliards de dollars. Et chaque jour on polémique sur des flux migratoires qui seraient causés par des gens qui ne migrent pas puisqu'on les a enfermés dans des camps, et puisque bloqués dans des camps ils sont très loin de rejoindre ces pays que l'on croyait d'accueil. Dans le monde d'aujourd'hui se créent des marges closes, des limes atroces, des réserves d'êtres humains sans futur, dont on paye les gardiens afin d'assurer la sécurité de régions politiquement incorrectes ou instables, confiées inéluctablement aux pires des dirigeants. Le principal projet, à long terme, de notre initiative DMZ est d'y édifier une cité symbole qui effacera l'ultime résidu idéologique de la guerre froide, résoudra par l'exemple l’inégalité entre Sud et Nord planétaires. Cette cité DMZ et cette zone devenue utopique démontreront que les mobilités Sud/Nord et toutes mobilités de frontières sont en fait des garanties de prospérité mutuelle, de croissance et de développement : un développement pas seulement économique, mais humain. Ce concept, on voudrait que cent premiers Élites Migrants l'élargissent à toutes les régions en affrontement sur la planète.
Ville agréable aux réfugiés - intégration, Vienne
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